Les vitraux sont pour partie historiés et contemporains.

Les vitraux historiés du chœur représentent un saint en pied encadré par une baie architecturée. Ils datent de 1876. Nous avons dans l’axe la sainte Mère de Dieu (0), encadrée au Nord de saint Joseph (1), saint Jean-Baptiste (3) et saint Lambert (5) ; au Sud saint Jean l’Evangéliste (2), saint Eparchius (ou saint-Cybard) (4) et saint Charles Boromée (6).  Les numéros d’index repèrent les vitraux sur le plan ci-dessous.

Plan de l’église avec localisation des vitraux

 

Sainte Mère de Dieu

Saint Joseph

Saint Jean Evangéliste

Saint Jean Baptiste

   

Saint Eparchius

Saint Lambert

Saint Charles Boromée

     
La façade ouest reçoit, dans sa baie au-dessus du portail, un vitrail figuratif daté et signé de 1914 sans rapprochement esthétique avec ceux du chœur. Il représente sainte Cécile jouant de l’orgue. 


Phylactère : Laudate Eum in Chardis et Organo.

Blason gauche : « A la mémoire de Mr Raoul Labatut-Verdand 1885/1910 ».

Blason droit : Mr Roux. Curé – 1914.

Médaillon gauche : GP DEGRAND BORDEAUX.

Médaillon droit : Année 1914

 

 

 

 

 

 

Au-dessus, le vitrage clair losangé a disparu et a été remplacé par des plaques de polycarbonate. Les barlotières sont encore en place.

La nef et la travée sous clocher semble avoir été dotés au 19è siècle de vitraux polychromes à décor géométrique et végétal. Les autres baies semblent ornées de vitrages clairs losangés dans un premier temps. Ils ont été remplacés par des vitraux contemporains dans un mode décoratif abstrait en 1984. Ils sont tous sur le même type et offrent une modulation de motif d’un vitrail à l’autre.

 

Depuis 2003, des aménagements ont été réalisés par l’affectataire, notamment par la remise en place devant ceux existants, d’un vitrail 19ème siècle au Sud de la travée sous clocher et la création d’un autre représentant une sainte au Nord.

7 bis : vitrail devant celui portant n° 7

8 bis : vitrail devant celui portant le n° 8

Le vitrail du 19ème a été offert par le curé Dissan en 1886, il a été retrouvé derrière le confessionnal lorsque celui-ci a été déplacé en 2002. Il a été restauré bénévolement grâce aux compétences d’un habitant de la commune, véritable “maître verrier”, Jean-D. Petit, en 2003. Il a également offert à l’église le vitrail 7 bis.